C’est en partie en raison des dérèglements climatiques, des incidents alimentaires, des catastrophes naturelles, que l’opinion publique marocaine a pleinement pris conscience du rôle joué pendant ces situations difficiles par les équipes de secours.
Les médias ont démontré tout au long de ces épreuves, qu’en dépit de moyens de secours structurés et organisés, et de leur mise en œuvre rapide, ces situations de crises, restes difficilement maîtrisables.
Le dispositif ESPOIR, s’inscrit pleinement dans une logique de prévention et de mobilisation rapide face à une situation de catastrophe de quelque nature qu’elle soit. Par notre action, nous souhaitons que le déclenchement de l’ESPOIR, qui s’inscrit, dans l’axe des récentes évolutions en matière de sécurité civile, devienne un reflexe, dans le cadre de toute catastrophe, qui engendrerait des recherches et sauvetages de victimes sous décombres ou ensevelissement.
Une autonomie de commandement, technique (transports, transmissions…), et de vie.
L’action des détachements s’inscrit dans le cadre strict de la phase d’urgence d’une durée de 10 à 15 jours.
6 heures ; ce qui signifie qu’après sa mise en alerte, le détachement ou l’élément doit être prêt à partir.
Cet élément est lié à l’engagement lointain habituel de ces détachements et à l’obligation de réduire au minimum les délais d’acheminement.
Marrakech, Tétouan et Casablanca
Marrakech, Tétouan et Casablanca